Mirzoaliev vend des samossas depuis plusieurs années ; grâce aux prêts de Humo, il possède désormais un petit commerce où il peut mieux servir ses clients et mettre de l’argent de côté. Il nous raconte son parcours.
Mirzoaliev est marié et a 33 ans. Il est père de famille, et vit avec sa femme et ses trois enfants (1 garçon et deux filles). Il vit dans le nord-ouest du pays, dans le village de Jomi, qui se trouve dans la région de Sughd.
Il y a 15 ans, il a appris auprès de son oncle comment prépare et cuisiner des samossas (beignet de blé d’Asie centrale farci à la viande et aux épices). C’est ainsi qu’il peut subvenir aux besoins de sa famille. Tous les matins, il se lève à trois heures du matin, prépare la pâte et la farce, les cuit, et va les vendre au marché. Sa femme l’aide à couper et cuisiner les oignons. Tous les samossas doivent être prêts à 6h, quand les premiers clients arrivent ; la préparation prend du temps, d’autant que ses samossas sont très demandés et qu’il doit préparer des stocks suffisants pour toute la matinée.
Il est également agriculteur afin de compléter ses revenus, et possède ses propres champs où il cultive des fraises et du blé, dont il utilise la farine pour la pâte à samossa.
En 2018, il est entré en contact avec l’IMF Humo afin de contracter un prêt. En effet, il souhaitait développer son petit commerce de samossas mais manquait du capital nécessaire. L’IMF lui a accordé un prêt qu’il a fini de rembourser.
Je suis satisfait par le service de Humo, la qualité du service et la relation avec les employés.
APRES LE MICROCREDIT
Mirzoaliev a donc utilisé l’argent du prêt pour ouvrir un autre petit commerce de samossa à un autre endroit de son village, avec un petit espace pour que ses clients puissent prendre un café en plus de la nourriture qu’il leur offre. Il a donc pu attirer de nouveaux clients. Maintenant, il gagne mieux sa vie et peut mieux soutenir sa femme et ses filles.